 M. de Luxembourg, qui le reçut en son absence, lui fit mille caresses et l'assura de la bienveillance de Son Altesse. Cette foule de courtisans n'étonna point notre philosophe. Il avait une politesse plus approchante de la cour que d'une ville de commerce,...  Preussische Jahrbücher - Page 4421906Full view - About this book
 | Benedictus de Spinoza - Philosophy - 1830 - 756 pages
...la bienvieillance de Monsieur le Prince. Cette foule de Coulisans n'étonna pas noire Philosophe. Il avoit une politesse plus approchante de la Cour que d'une ville de commerce a qui il devoit sa naissance, et dont on peut dire qu'il n'avoit ni les vices, ni les défauts. Quoique... | |
 | Benedictus de Spinoza - 1842 - 600 pages
...bienvcillance de M. le prince. »Cette foule de courtisans n'étonna pas notre philosophe. Il avait une politesse plus approchante de la cour que d'une ville de commerce à qui il devait sa naissance, et dont on peut dire qu'il n'avait ni les vices ni les défauts. Quoique... | |
 | Baruch Spinoza (dit Benedictus de) - 1861 - 554 pages
...bienveillance de Son Altesse. Cette foule de courtisans n'étonna point notre philosophe. Il avait une politesse plus approchante de la cour que d'une ville de commerce, à laquelle il devait sa naissance, et dont on peut dire qu'il n'avait ni les vices ni les défauts. M. le prince,... | |
 | Benedictus de Spinoza - Philosophy - 1861 - 694 pages
...bienveillance de Son Altesse. Cette foule de courtisans n'étonna point notre philosophe. Il avait une politesse plus approchante de la cour que d'une ville de commerce, à laquelle il devait sa naissance, et dont on peut dire qu'il n'avait ni les vices ni les défauts. M. le prince,... | |
 | Benedictus de Spinoza - 1861 - 556 pages
...bienveillance de Son Altesse. Cette foule de courtisans n'étonna point notre philosophe. Il avait une politesse plus approchante de la cour que d'une ville de commerce, à laquelle il devait sa naissance, et dont on peut dire qu'il n'avait ni les vices ni les défautsi M. le prince,... | |
 | Benedictus de Spinoza - Metaphysics - 1863 - 434 pages
...bienveillance de Son Altesse. Cette foule de Courtisans n'étonna point notre Philosophe. 11 avait une politesse plus approchante de la Cour, que d'une ville de commerce, à laquelle il devait sa naissance, et dont on peut dire qu'il n'avait ni les défauts ni les vices. M. le Prince,... | |
 | Jacob Freudenthal - Philosophers - 1899 - 336 pages
...bienveillance de Son Altesse. Cette foule de Courtisans n'e'tonna point notre Philosophe. II avoit 30 une Politesse plus approchante de la Cour, que d'une Ville de Commerce, ä laquelle il devoit sä naissance, et dont on peut dire qu'il n'avoit ni les Vices ni les D6fauts.... | |
 | Paul Louis Couchoud - 1902 - 338 pages
...foule rustique des bons compagnons courtauds, balourds et jargonnant. \/ « Il avait, nous dit-on, une politesse plus approchante de la cour que d'une ville de commerce à laquelle il devait sa naissance1. » Son teint olivâtre, son élégante perruque de jeune homme, son latin, sa... | |
 | Gustave Cohen - 1926 - 112 pages
...Cette foule de Courtisans n'étonna point notre philosophe ; il avoit une politesse plus aprochante de la Cour que d'une ville de commerce, à laquelle...il devoit sa naissance, et dont on peut dire qu'il n'avoit ni les vices ni les defauts. Encore que ce genre de vie fût entièrement opposé à ses maximes... | |
 | Johannes Colerus - Philosophers - 1999 - 142 pages
...bienveillance de Son Altesse. Cette foule de courtisans n'étonna point notre philosophe. Il avait une politesse plus approchante de la cour que d'une ville de commerce, à laquelle il devait sa naissance, et dont on peut dire qu'il n'avait ni les défauts ni les vices. M. le Prince,... | |
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